Erwin Redl travaille avec luminaires LED en tant que médium artistique depuis 1997. Mais il n'a acquis une certaine notoriété, que récemment, car ce n’est qu'en 2007 que Redl a tenu sa première exposition solo aux Etats-Unis, à la Ace Gallery de Beverly Hills. Les travaux Redl ont été comparés à ceux qui sont sorti de la «Light and Space», le mouvement des années 60 et 70, une exploration minimaliste de la lumière, l'espace, de volume et d'échelle. Ses grandes installations géométriquement alignés de LED RBG créent différentes expériences perceptives selon l'endroit où vous vous tenez en leur sein. Dans ses pièces, Redl utilise des voyants LED 12v de créer des avions immersif d'architecture, qui agissent comme des limites que le spectateur est censé enquêter et même casser.«Seul le mou
vement corporel et la découverte ultérieure de tous les aspects de l'espace (visuel, corporel, acoustique, sociale, etc) lentement révèlent la nature de la pièce. Ces aspects sont très subjectifs, mais basées sur le privé, les souvenirs individuels du spectateur, et pourtant ils sont expérimentés dans un cadre communal qui conduit à des interactions souvent très surprenantes entre des inconnus lors d'expositions », explique Redl.
Avant 2007, les travaux de Redl ont acquis une certaine visibilité aux États-Unis quand sa pièce, Matrix VI (ci-dessus), a éclairé la façade du Whitney Museum of American Art à New York pour la Whitney Biennale 2002. À Los Angeles, Matrix II, a été inclus dans le Musée d'Art Contemporain.
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